Histoire Spar

[Dark Gagliator]

"Écoutez, écoutez, ma parole est vérité. Venez entendre la formidable histoire de Kern l'empereur déchus qui commandait des armées dont le seul nom effrayait tout les rois!"

Il y a bien longtemps, Leonidas et ses valeureux spartiates se battirent avec fureur pour défendre leur terre. Ils vainquirent des millions de perses ces-derniers plus esclaves que soldats n'offraient guère de résistance face à des hommes entrainés à tuer dés leur plus jeune âge et forgé par les milliers de siècles de leur histoire, ils moururent en braves la lance au poing entouré de cadavres ennemis et leur exploit servit de message d'espoir au autres contrées libres. Et d'hommes libres à hommes libres la nouvelle se rependit que Léonidas et une poignée d'homme donnèrent leur vie pour protéger leur foyers, leur famille mais aussi pour la liberté! Aujourd'hui encore tous se souviennent de ces vaillants Spartiates qui mirent en échec le semi-dieu Xérès et ses armées barbares. Les Grecs menés par les Spartiates avait anéanti les Perses en souvenir de leurs frères morts au combat pour eux.
Malheureusement des années plus tard les perses n'ayant pas laissés leur rancune de côté haïssaient la Grèce. Leur roi réunit une armée plus vaste que l'esprit peut imaginer, une armée capable de renverser des montagne, une armée indestructible. Des hommes de toutes les contrées du vaste empire Perse avait répondu à l'appel, des milliards d'hommes rassemblés sous une même bannière, des milliards d'esclave. Ils conquirent petit à petit toute la Grèce, ne laissant que des cendres derrière eux. Les enfants et les vieillards étaient tués, les femmes étaient vendus comme esclave. Arrivés devant la fière cité de guerriers les Perses mirent le siège. Maintes fois les spartiates sortirent, à chaque fois il furent exterminés, la plaine était trop vaste et les armées perses trop grande. Sparte finit par tomber, ce fût un odieux massacre; femmes, vieillards, enfants tous étaient balancés par-dessus le rempart. Partout on brulait, partout on pillait! Maudits perses, chaque fois qu'il trouvait un esclave ils l'empalaient sur une pique ou le faisait rotir, chaque fois qu'il trouvait une femme ils la violaient... Et Aérus le fils de Leonidas contemplait le spectacle impuissant, il mourut avec sa garde se battant sauvagement, déversant toute sa haine et sa fureur dans ses coups. Les blessures sur sa peau rude se multipliaient, la douleur le rendait fou et sa folie le rendait encore plus fort. Il avait ordonné à son fils de 16 ans de fuir loin et de refonder une Sparte. Le jeune prince regardait avec des larmes amères depuis le bateau qui l'emmenait vers d'autre horizon sa cité en flamme distinguant les masses noirs tombant des remparts. Jamais plus ce souvenir ne le quittera... Jamais plus sa haine ne l'abandonnera...
Arrivée en Tyrie avec les derniers Spartiates, ses fidèles compagnons et amis, il n'eut qu'un but: recréer une Sparte pour que son père et son grand-père ne soit pas mort pour rien. Dans ses veines coulaient le fière sang de ses ancêtres. Il se nommait Kern et son nom devint vite légendaire, invincible l'épée au poing il commandait ses troupes avec rages aidant les rois de Tyrie dans leurs combats. Une nouvelle terre remplis d'ennemis s'offrait à lui et ses hommes assoiffés de sang et de carnage autant que lui eurent bientôt une réputation de guerriers sanguinaires.
Aidés de ses meilleurs lieutenants, il conquis des terres, se les appropria et construit une cité où il pourrait gouverner son peuple. Il créa des phalanges ayant pour chef ses lieutenants les plus fidèles. La gloire de la veille Sparte devint bientôt celle de la nouvelle Sparte, en effet chaque fois que les phalanges se mettaient en marche elles anéantissaient tout sur leur passage. Kern tua des rois, offrit ses services aux kurzicks et construisit un empire. Les femmes l'aimaient avec passion, les enfants l'admiraient avec enthousiasmes, les hommes le jalousaient...
Quand trop de personne sont jaloux de la même personne, il arrive toujours un moment où toutes ces tensions finissent par éclater. Une conspiration fût crée et Kern fût détrôné. Il s'en alla avec ces derniers fidèles erré dans le désert de Cristal. Chaque jour ses homme et lui s'entrainait durement à l'escrime. Ils perfectionnaient leur endurance et testaient leur courage. Des années passèrent, quelques uns de ses compagnons étaient mort mais Kern restait toujours dans le désert à combattre et presque tous l'avait oublié, tous sauf nous ses fidèles entre les fidèles. En méditant Kern eu un jour une révélation, il ne pouvait plus rester là dans le désert et braver la mort à chaque pas. Il fallait qu'il retourne prendre sa couronne des mains de l'usurpateur. Ils partirent à l'aube avec ses hommes, il n'étaient plus que dix mais ils recrutèrent de vaillants soldats et se retrouvèrent très vite au nombre de cent hommes. Une compagnie de soldat nommé "L Empire Spartiate Renaitra", se mit a sillonné la Tyrie et a brulé toutes les villes sur son passage. D'anciens compagnons le rejoignaient et chaque jour apportait son lot de victoire, certes mineure mais des victoires quand même.
Jour après jour, nuit après nuit notre compagnie grandissait et bientôt nous pourrions reconquérir nos foyers.

Aujourd'hui nous sommes de retour, amis spartiates! Battez-vous avec honneur et mourrez avec courage et nous forgerons notre histoire! A mort l'usurpateur! Il n'est qu'un misérable traitre qui n'a pas hésitez a tué ses propres amis! Le temps à passé mais nous sommes de retour et vaincrons PARCE QUE NOUS SOMMES DES SPARTIATES!"

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[lordman modest]

Lordman se leva et applaudit doucement le conteur, il le connaissait de longue date et savait egalement la portée de ses dire, cette histoire, il l'avait vue, il l'avait vecue, il y avait participé. Bien qu'elle representait qu'une maigre tranche de l'histoire de ce monde, la destruction et la mort avait gravée la marque de la haine et de la vengeance dans le coeur de tout spartiates et ls plus valeureux n'en avait que trop cherement payé le prix. Lordman savait que les paroles prononcées ici souleverait cette haine contenue dans les coeur des braves, que les poings souvent restés masqué se devoilerait pour repandre le cris de la vengeance et vaincre.
Lordman parla:
"ami spartiate, cher frere, ce recit t'honnore, il y a longtemps que nous n'avions pas entendu pareille histoire même si beacoup d'entre nous la connaissent. Cela me rend triste de ressasser le passé mais me souleve le coeur. Et je souhaite qu'il fasse cet effet à tous nos frêres dispercés en tyrie et qu'ils fasse tremblé nos ennemis."
L'officier spartiate se leva et fit l'acolade à son frêre avant de reprendre sa place devant les yeux perdus des spartiates présents et dans un silence destiné à respecter la mémoire de ceux qui sont tombés pour sparte et dont le souvenir douloureux avait fait renaitre la hargne legendaire de l'empire spartiate.

[Dark Gagliator]

"Ecoutez-moi Spartiates, le glas de la vengeance a sonné! Levez-vous et suivez-nous! N'en n'avez vous pas assez de ses rois de pacotilles seulement propre à me mener leur seul désirs et qui s'enivre de plaisirs?! Nous revenons d'un long exil nous avons volés pour mangés, nous avons tués pour survivre! L'empire renaitra je vous en fais le serment, nous devons châtier le traitre. Vaincre l'usurpateur et ses hommes! Il se dit spartiates?!
*rire*
Un spartiate ne trahit pas ses frères d'armes! Il se croit valeureux?! Il l'était, maintenant que les doux plaisirs plaisirs de l'orient l'on envahit il est devenu faible! Il aime se vêtir d'or de de soie, il adopte les mœurs perses, en vérité je vous le dis cet homme n'a plus rien d'un Spartiate! Nous nous sommes des spartiates. Et aujourd'hui je vous lance un appel, un appel aux armes. Rejoignez-nous vous valeureux que vous êtes nous auront tôt fais de reprendre notre dût. Rejoignez-nos phalanges et mourrez pour elles! Mes amis, mes frères beaucoup d'entre nous mourrons mais notre sera une mort digne, et nos noms seront chantés tant par les mortels que par les dieux!
La justice est en route et rien ne pourra l'arrêter, en effet car nous l'a portons au bout de nos glaives!
A tous ceux qui douterais de notre loyauté envers sparte: regardez cette cape! Elle d'un rouge sans magnifique, et pour je n'hésiterais pas une seul seconde à m'écorcher les veines dessus pour qu'elle garde son teint!
Oui venez-nous rejoindre, aidez-nous à forger notre histoire et nous vous couvrirons de richesse!
Lordman mon frère je ne compte plus les fois où nous avons menés la charge furieuse des spartiates, tu es mon supérieur et tu sais que ma lame comme ma vie t'appartient. Nous avons menés bien des batailles, côte à côte se protégeant mutuellement des coups adverses. Tu connais toute ma hargne, aujourd'hui je l'exploite pleinement. Mon Grand-père était au Thermopyles, Leonidas lui avait chargé de raconter une histoire, et 100 ans plus tard c'est Kern qui m'a chargé de raconter une histoire! Pas une belle histoire car la guerre n'es permet pas mais une histoire vrai est sanglantes. Une histoire d'amour et de haine, une histoire violente et méprisable! Mais quoi que vous pouviez en penser c'est notre HISTOIRE!

A ces mots la garde de la ville arrive, et se précipite sur l'agitateur. Je dégaine mon épée et les toise. Les quelques spartiates présents se rangent à mes côté, nous sommes tout au plus une dizaine eux sont une centaine. Lordman me tend mon bouclier et mon heaume. Je l'enfile, tout nos hommes font de même et d'un cri surhumain nous nous lançons au combat. Nous sommes vite encerclé mais pas par nos adversaires, nous sommes encerclés par des monceaux de cadavres. Le chef des miliciens nous considère avec crainte. Tuant le dernier homme, lordman s'approche de lui, "tu vois tes sommes sont des paysans alors que nous sommes des guerriers envois ce message à ton maitre et dis lui que pour lui la fin est proche"

[lordman modest]

comme dans les nombreuses villes qu'ils avaient conquises ces dernieres années, la bande de spartiates avait pris possession des lieux. Entrant dans la place forte de la ville, ils se reunirent en haut des remparts d'où ils dominaient la ville entière. Le ciel s'ouvrait à eux comme pour les appuyer dans ce redressement qui fesaient leurs reputations dans le pays tout entier. La populace s'etait rassemblée d'elle même au pied des murs et les acclamaient. Les soldats furent chassés si épargnés pour que la nouvelle se disperse.
Lordman se hissa en haut de la hampe où flottait le drapeau du seigneur conquis, dans un elan de ferveur et d'adrenaline, il arracha sa cape et la hissa au sommet du porte drapeau. Les couleurs de sparte flottaient à nouveau au vent, les spartiates s'etaient reveillés, les rares survivants egaré les rejoignèrent et le monde exterieur allait bientot entendre le cris destructeur des spartiatesµ.

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